Nos bébés sont-ils des « drogués en herbe » ?

Compléments alimentaires Ruedesplantes

Une solution possible

La solution proposée ici n’a pas la prétention d’être exhaustive ; son mérite est d’être à la fois logique et d’avoir donné d’excellents résultats sur plusieurs patients.

Elle vise à :
– effacer les traces des drogues utilisées,
– aider l’hypothalamus à recouvrer son fonctionnement normal.

Pour effacer les traces des drogues, le choix s’est porté sur les hautes dilutions homéopathiques. La principale difficulté que l’on rencontre vient du fait que l’on peut rarement identifier avec précision les produits en cause, soit parce que l’accouchement est ancien, soit parce que l’on se heurte à une sorte de conspiration du silence. Faute de mieux, nous avons utilisé morphinum et opium (les Poly K de la Préparatoire des Archers à Épernay). Quant à la remise en fonctionnement de l’hypothalamus, le problème est très délicat du fait qu’on ne peut écarter la possibilité qu’il n’ait jamais fonctionné correctement. C’est ici que la médecine énergétique peut apporter une aide précieuse en faisant appel à des moyens et produits qui permettent de l’aider à retrouver des rythmes vibratoires normaux.

EN GUISE DE CONCLUSION

Certains diront : « s’il y avait des risques réels, ça se saurait ». Ce à quoi on peut répondre : à condition qu’on veuille bien faire les recherches nécessaires et nous informer des résultats. Ce qui sous-entend que ça ne gêne pas trop les intérêts en jeu. Pour compléter notre analyse, nous aborderons donc le problème en étudiant les effets des drogues utilisées lors des accouchements sur la composition du lait maternel et les conséquences qui s’ensuivent.

En effet, et ici personne ne peut dire qu’il s’agit d’une supposition gratuite car le fait est avéré : on retrouve beaucoup de toxines dans le lait maternel (les analyses en font foi). Il semble admis que tout se passe comme si l’allaitement constituait un moyen d’élimination naturel. Peut-être y a-t-il là un début d’explication au fait que certains bébés ne veulent pas téter ?

Ainsi, même si le bébé n’est pas intoxiqué avant et au moment de sa naissance, il l’est dans les jours et semaines qui suivent par le biais de l’allaitement. Si la mémorisation du biotope au niveau de l’ADN s’effectue, comme le démontre le Dr Gernez, durant cette période, les conséquences ont toutes les chances d’être à peu près les mêmes que lors d’une intoxication prénatale. Pour lever le doute, on peut oser une suggestion :

Pourquoi ne pas faire des recherches de corps étrangers (xénobiotiques) dans le lait maternel et le sang des bébés dès la naissance et dans les semaines qui suivent ?

J.Jérémie

Bibliographie

GERNEZ André – Le scandale du siècle -Film DVD – contact : jean.bilien@wanadoo.fr
http://www.petitmonde.com

Dr Fernand LAMAZE : Qu’est-ce que l’Accouchement ?
Collection Savoir et Connaître – Éditions La Farandole 1956

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