L’aluminium, une fois dans l’organisme, n’évolue pas de façon anodine. La preuve …
* Il a trois tissus cibles : les os et articulations, les reins et surtout le tissu nerveux noble.
* Il dispose d’un transporteur efficace (son « taxi » !) : la TRANSFERRINE – normalement réservée au transport du FER qu’il vient supplanter !
* Il entraîne une modification du milieu bioélectronique et amène l’organisme à l’autisme et la névrose profonde…
* Il fait des dégâts neurologiques (trous dans le tissu nerveux noble) identiques à ce que l’on observe dans les encéphalites spongiformes abiotrophiques = maladie de la Vache Folle, maladie de Creutzfeldt–Jakob etc.. Il se retrouve également à des concentrations massives dans le cerveau des malades touchés par la démence de Alzheimer, la maladie de Parkinson, et il n’est sans doute pas inactif dans les Scléroses en plaques bien que personne n’ait cherché de ce côté… Citons encore les démences, l’autisme, les chorées et sans doute beaucoup d’autres affections encore.
* Il diminue la plasticité neuronale et favorise le vieillissement des tissus nobles.
La dose toxique est de l’ordre de 60 micro grammes par litre de sang selon le Dr Garnier du Centre Anti-Poison de Paris (le Concours Médical en février 1997). Les dégâts seraient inéluctables à compter de 100 micro grammes !
Par voie digestive, un pourcentage variable selon les apports passe théoriquement dans le sang, plus ou moins selon les acides assimilés simultanément. L’absorption est plus importante en cas de carences associées en vitamine C, Fer, Zinc. Par voie parentérale (injection), la totalité diffuse très rapidement dans le sang.
Les Chélateurs de référence (substances chimiques capables de favoriser l’élimination) sont la DESFERROXIAMINE ou le DESFERAL (qui éliminent simultanément le FER). Le CP 94 est actuellement à l’étude pour le cerveau. Ils sont malheureusement très toxiques, donc difficilement utilisables !
APPORTS COURANTS :
* L’eau du robinet (clarifiée souvent avec de l’ALUMINIUM),
* Certains jus de fruits « clarifiés » avec ce produit,
* Les ustensiles de cuisine en aluminium,
* La Médecine Conventionnelle !
=> Les médicaments contre les brûlures d’estomac +++ : ils contiennent des quantités énormes d’aluminium, mais ils sont filtrés par la muqueuse digestive et passent plus ou moins dans le sang.
=> L’Hémodialyse (rein artificiel)… Elle utilisait récemment encore de l’aluminium pour « nettoyer » le sang ! Il semblerait que cette technique ait été abandonnée aujourd’hui ?
=> Les VACCINS… La plupart contiennent 1250 micro grammes d’hydroxyde d’aluminium (une des formes chimiques les plus toxiques) par dose, soit plus de vingt fois la dose toxique, en tant qu’ADJUVANT de l’IMMUNITE.
Signalons cependant que depuis quelques années, il existe un vaccin DTP de l’Institut Pasteur sans aluminium … à force de crier au scandale, il semble que ces gens-là aient eu peur ! Par ailleurs, le BCG ne contient pas non plus d’aluminium.
L’association GRENAT (association de scientifiques du milieu médical inquiets des effets iatrogènes de certaines thérapeutiques) s’est permis de demander au Docteur Garnier ce qu’il pensait de cet aluminium vaccinal suite à la publication de son article remarquable dans le Concours Médical : la réponse a été stupéfiante ! Selon lui, l’aluminium vaccinal ne présenterait aucun danger – alors que la plupart des vaccins sont inoculés directement dans la chair de bébés qui possèdent moins d’un litre de sang…
POURQUOI LES VACCINS ?
Tout vaccin est composé de deux fractions… La soupe de purulence et l’adjuvant.
* La soupe de purulence est constituée de germes, virus ou de toxines.
Les germes ne font pas courir de risques majeurs car il s’agit en fait de microzymas respectueux. Ils peuvent néanmoins apporter des informations inopportunes et mettre en route des maladies-guérison dont nous nous serions bien passées. Les virus n’existent probablement pas – et s’ils existent ne font sans doute guère plus de mal…
Par contre, les toxines empoisonnent l’organisme inutilement et peuvent être très néfastes (spasmophilie ou tétanie avec la toxine tétanique, spasmes de la gorge et troubles de la déglutition avec la toxine diphtérique…)
* L’adjuvant de l’immunité.
Seul, le vaccin antivariolique en était dépourvu, d’où son inefficacité patente. Au point que l’Angleterre d’où il était issu en est venu à l’abandonner en 1900, date à laquelle les pouvoirs politiques – et non les autorités médicales – l’ont rendu obligatoire en France ! Louis Pasteur savait bien qu’il trompait son monde à l’époque de Pouilly le Fort (expérimentation animale autour du « charbon ») et que ses soupes de purulence n’avaient pas la moindre efficacité sans l’adjonction d’un poison. A l’heure actuelle, les fabricants de vaccins reconnaissent enfin la présence dans leur seringue de ce poison, baptisé pudiquement : adjuvant de l’immunité. Avec une bonne loupe, tout le monde peut les découvrir dans la rubrique EXCIPIENT du Dictionnaire VIDAL. Le Dr Louis LERI – responsable de la division Vaccins de l’ex-Institut Pasteur de Lyon – expliquait en juin 1997 devant une assemblée de profanes : « les adjuvant agissent en maintenant prisonniers les antigènes vaccinant devant les cellules immuno-compétentes, le temps pour ces dernières de fabriquer les anticorps »… Ce sont donc « les petits bras musclés » de Coluche (voir le sketch : la lessive anti-redéposition) selon les professionnels des fabricants de vaccins. Ils sont donc censés présenter les « antigènes » aux cellules immunocompétentes.
Mais ce sont là des suppositions gratuites – jamais démontrées – de la part de nos scientifiques pasteuriens. Ainsi, un poison inoculé et diffusé dans un organisme vivant complexe pourrait se comporter de façon cohérente, intelligente, raisonnée ? Tout le monde connaît le tropisme de l’aluminium pour les reins, le squelette et le cerveau. Curieusement, jamais personne n’a parlé d’un tropisme pour le système immunitaire – qui reste d’ailleurs à définir !
Il est beaucoup plus probable qu’il agit – comme les autres adjuvants de l’immunité utilisés dans le passé – par toxicité directe immédiate, générant un stress qui interdit à la maladie-guérison de se produire. Jadis, l’efficacité de l’adjuvant – et donc des vaccins – n’était que provisoire, car les poisons finissaient un jour ou l’autre par être éliminés. Avec l’aluminium, plus de soucis : il est quasiment indéracinable une fois installé dans l’organisme !
Par ailleurs, il modifient le milieu intérieur du patient (mesurable par la bioélectronique par exemple). Cette efficacité temporaire se fait de toutes façons au profit d’autres pathologies plus lourdes encore, nous l’avons vu…
LES PARADES
Il faut jeter les ustensiles de cuisine en aluminium.
Il faut éviter de boire l’eau du robinet ou de la consommer dans les aliments (cuisson des pâtes ou du riz en particulier) – et utiliser de l’eau filtrée (osmose inverse ou nano-filtration). Attention aux bouteilles d’eau en plastique qui sont source de pollutions intempestives de la planète après leur utilisation (dégagement de dioxine en particulier si crémation).
Il faut éviter les vaccinations autant que possible !
Malgré tout, les contaminations restent possible et parfois inévitables (obligations vaccinales). La seule parade dans ce cas est la prise régulière et suffisante de vitamine C.
Alain SCOHY